Le ciel n'est plus qu'un vaste élan
Comme une aile ouverte et profonde
Sous le déferlement du monde,
Limpide et lent vacillement –
Tendu, mon regard tendre a délivré le Temps,
Toute vibration, éternelle seconde
Au cœur cuivré du sable ébloui comme une onde,
A deux mains, je m'élève et forte infiniment .
Je te goûte et te bois, sève absolue de l'âme,
Espoir universel, paisible et rayonnant –
En l'immense multiple alchimique printemps
Je me dissous d'offrir, consumée, toute flammes,
Cosmique au centre ardent de ce mystique jour,
Oméga, Verbe d'OR, je ne suis plus qu' AMOUR !
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Sylvette Divizia-Bayol Avril 2007
Commentaires
Merci pour ces deux poèmes donnés à savourer car je commençais à me lasser des petites annonces....