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  • Beau succès pour Christine Doucey

     Pleine de vie et d'inspiration notre amie Christine Doucet,

    Elle  vient d'être  "mentionnée" en section poésie au  concours de Meyrin

     et surtout classée 3ème à ce concours de la nouvelle. Le thème  était "La fin d'un monde",  

     

    Titre et page de couverture :

     

    Onexiste plus”...an 2100...le nuage devait détruire la mémoire.

    Une histoire sac de nœud basée sur la théorie des cordes où la vie de l’homme ne tient qu’à un fil...
    Un nuage dans son ciel avait changé la face du monde.

    Après quelques décennies de guerre bactériologique, Onexzeropolis se réveille. Le soleil filtré, par économie forcée, réchauffe un peu la Grande Bulle bi coque où les corps et les âmes léthargiques se régénèrent.
    Les grands lacs ont disparus, ils se sont dégradés et comblés, littéralement aspirés par une saleté d’algue toxique...
    L’eau est rare, l’air est rare, il a fallu aller les chercher très loin sous terre, très loin dans l’espace impasse, in terra incognita, dans le foutoir planétaire, ce qui a généré une manière de vivre verticale. Un smog épouvantable, généré par le Nuage intrus, fait flipper la communauté planante méditative des CSPC, les cerveaux savants-penseurs-chercheurs.
    Oh combien l’homme est solitaire dans la grande obscurité de son ignorance!
    L’homme est en devenir ou en re-devenir, la ville, elle, est en reconstruction et vit l’aire digitale à la recherche dune nouvelle géométrie, nouvelle manière d’habiter : habitat bulle, s’inspirant de la vague “blob blurp”, colonies communicantes biomorphiques, sorte de colliers en suspension, véritables petits bocaux pour territoire exigu...l’idéal du bonheur reste ambigu!...   
    Christine Doucet

    Un recueil nommé Mosaïque paraîtra l’année prochaine publiant tous les textes lauréats,

    mais la nouvelle dans son intégralité sera éditée par Cabedita dans un prochain ouvrage parlant de la cité nouvelle d’Onex, pour le salon du livre de Genève.

                    

  • Mémoire de l'eau de Christine Doucet : un livre, des aquarelles.

    Unnouveau livre d'aquarelles de  ChristineDOUCET est paru :

     

    Mémoire de l'eau

     

    son parcours de 2004 à 2009

     

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    expositionau château de Bon Attrait à Villazprès d'Annecy

    "Regards d'ailleurs"

     

    mêmes portraits d'enfants d'équateur que pour son expo Latitude 0

    du 24 novembre au 15 décembre environ.

  • Volcan - Poème d'Hélène Soris

     

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    Je regarde l'érable

    enflammé pour l'automne

    purifier la transparence du bleu

     

    Et je pense au grand feu

    au grand feu qui

    se cache en nous

    et…

    sous nos pas …

     

    Nous n'entendrons jamais

    le grondement

    qui ceinture la terre multicolore

    verte des forêts calmes

    jaune des sables

    et de

    tout ce gris  des villes

     

    Comme clins d'œil à la fournaise

    nous avons même ajouté   lampes et néons

     

    Pourtant

     

    vivant,

    frémissant  bat un cœur

     

    comme une orange

     

    en secret

     

    un cœur immense

     

    invisible et oublié 

     

    Il se sent  étouffé  

    comme le notre en certains jours  il bouscule alors

    tout autour de lui

    dans un soupir immense

     

    et aveugle

     

    sa respiration  déchire  un passage 

    libére  ses larmes incandescentes

     

    ses laves  brûlantes

     

    incendiaires

     

    Il ne

     

    Sait pas qu'il tue

     

    il faut bien qu'il

     

    Vive …

     



    Hélène Soris

     

     

     

     

     

  • Trésor chromatique - Poème de Guillaume Riou

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    Le soleil cuivré,

    dans un ciel si calme,

    caresse la toile feuillue des monts.

     

    Nos regards se perdent

    aux courbes des déferlantes d’ocres.           

     

    S’empourprent les caducs hirsutes

    en canopées de feu.

     

    Pampres diaprés

    Touches d’ambre

    Pommes d’or

    Ramures rubigineuses du cycle fauve.

     

    L’éphémère palette automnale

    nous pare de sérénité.

     

     

    Guillaume Riou

    https://poussiere-virtuelle.com/

  • Tu vas, tu vois ta vie - Poème de Jacques Grouselle

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    photo © Christine Doucet

    Tu nais,

    Au plus merveilleux des matins

    Et le monde entier bat des mains,

    Tu sais.

     

     

    Tu vas

    Déjà jouer à la poupée, c’est doux.

    Tu ris, tu chantes tout est léger,

    Tu cours en dansant dans les près,

    Tes amis ont les mêmes goûts

    Que toi.

     

     

    Tu lis

    Les contes savants des anciens

    Qui tracent pour toi le chemin.

    Tu te heurtes aussi à leurs lois,

    Elles guident tes pas maladroits,

    Soumis.

     

     

    Tu bois

    Au  lait de tes vingt ans, la joie.

    Des lèvres mouillées des amants

    Tu goûtes aux délices troublants

    Tendres et cruels à la fois,

    Emois.

     

     

    Tu passes

    Parfois sans oser demander,

    Parfois sans oser regarder,

    Gainée de peur, cernée d’ennui,

    Pour ta paix tu étouffes ta vie,

    Tu lasses.

     

     

    Tu noies

    Délibérément tes tourments

    Aux flux des us et des coutumes,

    Au profit de tes amertumes,

    A la croisée des quatre vents

    Tu ploies.

     

     

    Tu ignores

    A jamais, le goût des bonheurs

    Doux, fous, des : «  je t’aime » criés

    Aux sept ciels des lits sans pudeur,

    Les tendresses jamais murmurées.

    T’as tort.

     

     

    Déjà,

    La cruche lentement s’est vidée,

    Le bon vin au temps s’est aigri.

    Tu bois le dernier verre, ainsi

    Tu plais aux bons guides éclairés,

    Tais-toi.

     

     

    Tu vois

    Ton existence oxygénée

    S’asphyxie vite, elle s’est usée

    Sans joie.

     

    Jacques Grouselle, Cluses le 26 octobre 2009.

  • Novembre chez Sylvie

    Sylvie Domenjoud

     Rubrique actualités de novembre  : 
     chronique : la grippe crise
     conférence : Ces contes qui nous aident à vivre
                      
    La grippe crise         
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